Les poèmes dorment. Ils sont silence ; à peine un homme seul les effleure-t-il parfois des yeux en rythmant les syllabes régulières. C’est ainsi que se froisse la grande bure poétique française, habituellement tendue et muette. Lorsqu’on se risque à lui toucher la trame, c’est un seul à seul, tête vive contre papier. L’homme La […]


















